Venue de l’écrivain Beyrouk, vainqueur du Prix Métis des lycéens 2016

Le jeudi 02 mars 2017, les élèves de 1ère L et leur professeur de français Mme Noguero, ont rencontré l’écrivain mauritanien Beyrouk, vainqueur du dernier Prix Métis des Lycéens pour son roman Le Tambour des Larmes. Le vote avait eu lieu le 15 dédembre 2016 à l’Hötel de Ville de Saint-Denis, réunissant plusieurs lycées réunionnais et deux lycées malgaches. Beyrouk l’avait alors remporté à la quasi-unanimité!
Les élèves avaient préparé sa venue en étudiant plusieurs thématiques propres à la Mauritanie : traditions, instruments de musique, condition des femmes… Ils en ont profité pour questionner l’auteur sur le métier d’écrivain, les influences qui l’ont nourri, sur son parcours etc. Ils étaient un peu impressionnés de rencontrer, en plus d’un écrivain… le conseiller culturel du président mauritanien!
Le bilan de cette rencontre est un peu…mitigé!  Voyez plutôt :
” c’était une rencontre intéressante, mais ayant fait des recherches sur la prostitution et la condition de la femme, j’ai été déçue parce qu’il a refusé d’en discuter avec nous”
“Nous avons été un peu déçus de la réaction de l’auteur qui était un peu distant”
“J’ai bien aimé cette rencontre, ça m’a permis de voir un vrai écrivain, son mode de vie et aussi l’histoire de son pays”
“La rencontre aurait été plus enrichissante si l’auteur avait développé davantage ses réponses à nos questions. Cependant, pour une première rencontre avec un auteur, nous avons pu apprendre des choses sur sa culture et son pays”
“Une rencontre agréable avec un ressortissant d’un pays méconnu, qui m’a permis d’en savoir plus sur celui-ci, de développer mes connaissances géographiques. Au contraire des autres, je n’ai pas été déçue, j’ai trouvé qu’il était ouvert et assez sympathique, ça m’a rassurée car j’appréhendais ce moment”
“J’ai trouvé l’auteur assez marrant dans ses manières. Il nous a appris certaines choses mais sans jamais vraiment approfondir. Il semblait vexé par nos questions et j’ai eu l’impression que notre travail n’avait servi a rien”

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