Que pouvez-vous nous dire sur M. Bertrand, le premier proviseur du lycée ?
J.F. : Cela peu paraître drôle mais c’était un magicien, il se débrouillait pas mal dans les tours de magie. C’était une de ses passions. Il faisait ses tours lors des spectacles de fin d’année.
Avez-vous des nouvelles de lui ?
H.H. : Non pas vraiment, mais je sais qu’il est revenu à la Réunion après avoir travaillé plusieurs années à l’île Maurice.
Pourquoi le nom de « Trois Pattes » pour la mascotte du lycée ?
B.J. et J.F : Car il avait une patte cassée. C’était un chien qui errait aux alentours du lycée et qui a été pris en compassion par le proviseur de l’époque, M. Paul Bertrand. Le proviseur suivant M. Van Heycke, ayant déjà un chien, l’a adopté et le chien Trois Pattes est devenu la mascotte du lycée, en même temps que « l’incinérateur de la cantine » (rire).
Pouvez-vous nous donner quelques anecdotes ?
E.F : Oh oui ! Il y a eu par exemple la rencontre de M et Mme Fruteau, deux professeurs du lycée… (rire).
B.J : Je me rappelle aussi du projet de Mme Deba consistant à planter un badamier et un camphrier.
En parlant de projets, il paraît que vous (José Fortes) avez participé à la construction du bassin du lycée. D’autres personnes ont-elles contribué à ce projet ?
J.F : Oui, en fait c’est M.Virin qui est à l’origine du projet. Puis c’est devenu un projet collectif. Il y a eu la participation des élèves du lycée professionnel, avec ma classe (Technicien Géomètre Topographe) qui a décidé de la forme du bassin et qui l’ont implanté dans la cour. Les professeurs de maçonnerie se sont chargés de la construction avec leurs élèves (Technicien Bâtiment Gros Œuvre). Enfin, les élèves de SSVT du lycée général se sont occupés de la végétalisation et de l’empoissonnement du bassin avec Mme Deba.
Actuellement M. Fruteau (Arts Appliqués) et M. Da Silva (Aménagement et Finition) ont le projet avec les élèves d’Aménagement Finition Bâtiment de faire une fresque en mosaïque sur les parois du bassin.
Pourquoi avoir choisi de représenter une guitare ?
J.F : Ah ! C’est parce que j’aime la musique, elle est omniprésente dans ma vie. D’ailleurs, à cette époque, j’avais ouvert un atelier de gospel dans le FSE. C’est donc la raison pour laquelle j’ai voulu représenter un instrument de musique.
